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Dallas

Ivre de soi — un nom de ville américaine, sourire aussi franc et feint, immaculé et prometteur qu’on puisse rêver, images de soi en cascades polychromes, inventaire des désirs de la terre entière ; une partie de l’humanité s’abîme dans la contemplation muette d’un corps de l’ancien monde, effigie évadée de l’hellénie et, pour quelques générations volatiles, peut-être encore absolument désirable : VANITY TEEN, lettres noires peintes sur la peau, comme un bégaiement de fierté qu’on applaudirait sans peine et sans prière, souvenir impossible d’une adolescence clémentine.

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